OFFRIR UNE MESSE
Les fidèles peuvent apporter au sacrifice eucharistique une offrande personnelle afin d’y participer plus étroitement. En effet, en donnant un peu d’eux-mêmes (leur travail, leurs biens), ils prennent part à l’offrande que Jésus fait à son Père.
Chaque fidèle peut légitimement demander que soit célébrée, le dimanche ou en semaine, une messe pour une intention particulière :
- pour les vivants ou les défunts de sa famille ;
- pour accompagner des proches dans tous les moments de leur vie (heureux ou difficiles) ;
- pour rendre grâce à Dieu pour des jeunes mariés, des anniversaires de mariage, un nouveau baptisé, des moments forts de la vie...
Vous trouverez ici la demande de messes qui sera à adresser au presbytère de la paroisse : 2, rue François de Ganay – 95270 Luzarches
DEMANDER UNE MESSE, C'EST ENTRER DANS LA PRIÈRE DE JÉSUS ET DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE, C'EST CONFIER À DIEU LES INTENTIONS QUI NOUS SONT CHÈRES.
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Pourquoi dois-je commencer mon édito de novembre par ces versets bibliques ? C’est bien la bonne période pour parler des vivants et des morts. En cette circonstance l’Église, notre Mère, nous propose deux célébrations : la TOUSSAINT et la commémoration des fidèles défunts. Et la société dans laquelle nous vivons, nous propose une autre ‘célébration’ appelée « HALLOWEEN ».
Halloween est une fête folklorique, originaire des îles anglo-celtes, célébrée dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre, jour de la fête catholique de la Toussaint. En Anglais « All Hallows’ Day » se traduit comme « la veille de tous les saints » ou « la veillée de la Toussaint ». Le jour d’Halloween, il y a chasse aux bonbons, aussi appelé passage d’Halloween.
Pour nous catholiques, nous ne fêtons pas Halloween, car le premier novembre, nous fêtons bel et bien la vie. Nous n’exaltons pas la peur ou la terreur d’Halloween, mais la joie de la multitude de Saints et Saintes qui sont dans la gloire de Dieu. Et le 2 novembre nous commémorons nos frères et sœurs défunts qui nous ont précédés dans l’au-delà.
D’où l’‘affirmation’ « il n’est pas le Dieu des morts, des
vivants » qui va bien pour nous qui croyons. « Je ne meurs pas,
mais j’entre dans la vie » dira la petite Thérèse.
Père Louis-Marie LUTOMANTIMA
curé
Nous ne mourons pas mais nous entrons dans la VIE.
Donc Vive LA TOUSSAINT !
241029
« Que les morts ressuscitent, Moïse lui-même le fait comprendre dans le récit du buisson ardent, quand il appelle le Seigneur, le Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob. Il n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Tous, en effet, vivent pour lui. » (Luc 20, 38-39)
LE DIEU DES VIVANTS